[P-B 002] V.O.A.G. > Obligations to the odd
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VOICE OF A GENERATION
“Obligations To The Odd”
Sidekicks records 1999
Style: Punk Rock Revival
Quelque part dans le livret c’est marqué “sound engineered and mixed by Dan Swanö”, (tiens tiens ?) je viens de remarquer ça à l’instant. Pourtant je possède cet album depuis pas mal d’années, il m’a même souvent servi de radio-réveil n°2 certains matins difficile, quand il s’agit de se lever en superforme, avec ou sans gueule de bois, et croyez moi que c’est rudement efficace. Normal, on est ici en présence d’un groupe suédois plus proche de Refused que de Millencolin, donc davantage orienté destroy que skate-board si vous voyez ce que je veux dire, et que les 14 morceaux qui remplissent les 31 minutes de l’album sont tous des hymnes de hooligans ravageurs dont on peut mesurer la puissance rien qu’à la détermination avec laquelle vos voisins sonnent à la porte pour vous suggérer de baisser le volume. Riffs en 3 accords à la Ramones, mais chant vindicatif à la Dead Kennedys, ces mecs ont gardé l’essentiel de la zique Punk de base pour la booster à leur manière, rentre-dedans, sale, rèche, mal rasée, sans concession et avec des textes No Future qui valent leur pesant de poésie (“I’m the dirt between your sheets, you just want to wash me away”) et dont les refrains résonnent comme des grenades au coeur des émeutes (“My generation my generation is shit !”). Avec un chanteur nommé Charlie Voice et un guitariste qui s’appelle 212, des back-up vocals signés SSK Football Supporters, un sens de la concision extrème (les morceaux dépassent à peine 2 minutes) et un goût pour les artworks minimalistes, Voice Of A Generation semble avoir achevé le millénaire en y mettant toute la mauvaise humeur du monde. Que sont-ils devenus ? J’en sais rien (sauf qu’ils ont signé chez Epitaph) en tout cas cet album tient la route et mérite d’être remarqué par tous les amateurs de chahut.
“Obligations To The Odd”
Sidekicks records 1999
Style: Punk Rock Revival
Quelque part dans le livret c’est marqué “sound engineered and mixed by Dan Swanö”, (tiens tiens ?) je viens de remarquer ça à l’instant. Pourtant je possède cet album depuis pas mal d’années, il m’a même souvent servi de radio-réveil n°2 certains matins difficile, quand il s’agit de se lever en superforme, avec ou sans gueule de bois, et croyez moi que c’est rudement efficace. Normal, on est ici en présence d’un groupe suédois plus proche de Refused que de Millencolin, donc davantage orienté destroy que skate-board si vous voyez ce que je veux dire, et que les 14 morceaux qui remplissent les 31 minutes de l’album sont tous des hymnes de hooligans ravageurs dont on peut mesurer la puissance rien qu’à la détermination avec laquelle vos voisins sonnent à la porte pour vous suggérer de baisser le volume. Riffs en 3 accords à la Ramones, mais chant vindicatif à la Dead Kennedys, ces mecs ont gardé l’essentiel de la zique Punk de base pour la booster à leur manière, rentre-dedans, sale, rèche, mal rasée, sans concession et avec des textes No Future qui valent leur pesant de poésie (“I’m the dirt between your sheets, you just want to wash me away”) et dont les refrains résonnent comme des grenades au coeur des émeutes (“My generation my generation is shit !”). Avec un chanteur nommé Charlie Voice et un guitariste qui s’appelle 212, des back-up vocals signés SSK Football Supporters, un sens de la concision extrème (les morceaux dépassent à peine 2 minutes) et un goût pour les artworks minimalistes, Voice Of A Generation semble avoir achevé le millénaire en y mettant toute la mauvaise humeur du monde. Que sont-ils devenus ? J’en sais rien (sauf qu’ils ont signé chez Epitaph) en tout cas cet album tient la route et mérite d’être remarqué par tous les amateurs de chahut.
Kaptendonc- Diplomé
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